Okay, ils sont bizarres ces Erasmus à toujours inventer des trucs pas possibles pour faire la fête.
pour les gens qui viennent vaguement accoutrés d'une toge (ou d'un drap), l'entrée dans le cloître était de 1 euro, pour les capas, 1euro 50, et pour nous, membres du commun des mortels, 2euros. Bière comprise, on est d'accord. Sur le "dancefloor" quelques zozos vêtus des-dites toges dancent -ou plutôt vacillent tant bien que mal- pendant que le DJ fait peter la dance-techno antique des années 90. Des gens qui parlent-finalement on ne sait plus quelle langue- un verre de bière ou de sangria à la main (ça va encore finir en parterres rouges vin un peu partout dans la ville ça)....
Et nous qui croyions au départ rejoindre deux étudiants d'Etienne sur la place Diniz ou sévissait un vague DJ et une vidéo- place malheureusement abandonnée par les curieux, préférant se rendre à l'associaçao à priori bondée last night.
à peine le temps d'entamer quelques gobelets que nous voilà trainés vers un bar vers la place de la républica, dans un bouiboui plutôt collé serré avec-encore une fois-quelques tubes périmés,et grand bonheur pour Arif et Halil (les-dits-étudiants-turcs-d'Etienne), Tarkan entame vers 2h30 son célèbre bisou enchanteur (?vraiment?).
encore une fois le temps de se faufiler vers le bar et nous voilà trainés vers le "tapas", une boite style "têtes d'indiens au plafond" et "têtes de biquettes accrochées poissonou-pas-fraichou" également...avec une foule embrasée qui gigote et bouge son body aux sons tropicaux du casse-rein...fin bref....
retour à la maison vers 5h30, la tête un peu embrumée, il était temps de dormir...
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