dimanche 26 avril 2009
Un dimanche au Portugal des petits
Le portugal des petits, Portugal dos pequenitos, est un sorte de parc d'attraction reconstituant les monuments du Portugal en miniature. Il recense également les colonies ayant appartenu au Portugal, et celles-ci sont également représentées par des monuments miniature, contenant chacun un "mini musée" évoquant la conquête de ces pays, leur histoire, et ce que le Portugal a fait de bien pour eux....oui....comme l'indique le routard à juste titre, c'est au moins d'aussi bon goût que Tintin au Congo, mais ceci dit on en sort un peu moins ignorants.....tout du moins sur le sens du mot "colonisation". Le Brésil, attraction phare du parc, possède même une vidéo sur écran géant en 3D (des années 80 donc plus en bidimension..) qui montre des petits colons Portugais arrivant au Brésil, et se faisant accueillir par une immense fête par des mi-hommes-mi-bêtes sauvages- voulant réellement apprendre à s'habiller.....hum! Vous imaginez vous un PArc asterix consacré aux colonies françaises????!! Ma partie préférée restant tout de même le musée des poupées...mais vous en saurez plus avec la prochaine pellicule!!!patience!
mercredi 22 avril 2009
Vue de la chambre
ça parait peu reluisant, certes, mais il s'agit simplement du Centro do mar, le centre de recherches sur la mer...il paraît qu'ils ont la plus grande collection d'algues d'Europe...sisi....
Le mieux reste encore le mec qui sort le lundi après midi fumer sa cigarette, avec la blouse ouverte sur une chaine en or et un torse poilu.....sisi....
Le mieux reste encore le mec qui sort le lundi après midi fumer sa cigarette, avec la blouse ouverte sur une chaine en or et un torse poilu.....sisi....
Finale internationale Portugal/France de Citadelle
Les chats du village médiéval - rois du quartier de la synagogue
Castelo vide
Gary's Cat from Algarve
Parceque Gary fait tout bien, l'attraction du camping: son chat, qui joue avec vous, vous traite comme un membre de la famille et sympathise facilement.
Le chat de Gary, une race typique de l'Algarve, très proche du siamois, mais pas exactement pareil...ceci dit, un point commun entre ces deux races, et pas des moindre...LE STRABISME! Il est beau, mais il a l'air un petit peu débile...
Le chat de Gary, une race typique de l'Algarve, très proche du siamois, mais pas exactement pareil...ceci dit, un point commun entre ces deux races, et pas des moindre...LE STRABISME! Il est beau, mais il a l'air un petit peu débile...
Marvao
Direction Marvao. Le plus joli village de tout le voyage. Petit village perché sur une colline. Vue panoramique, mode de vie traditionnel conservé malgré le passage des touristes....à ne manquer sous aucun prétexte.
De plus, pour passer une nuit reposante à la campagne, avec ferme, bruits d'oiseaux et de moutons, ainsi qu'un peu de chaleur humaine-et animale avec le chat de la maison-, on vous conseille vivement le camping de Gary, un anglais installé ici avec sa femme. Que des anglais dans le camping, bien sûr. Voisinage très serviable et discret, ambiance "campagne" avec livraison du pain frais le matin par une camionette, et bavardage avec Gary sur son amour pour la région. Vente de produits maison (miel maison aux écorces d'orange, piments sechés, savon aux plantes, confitures d'oignons et lemon curd, incontournable...): vous vous servez et laissez une petite pièce dans un pot à l'accueil. 1 euro le pot de confiture maison...C'est vraiment pas du vol!!! Les mots d'ordre ici : RE-POS, Calme, CONFIANCE et aussi Farniente bien sûr!!
Evora - Capela dos ossos
dimanche 19 avril 2009
Faro côté rue
C'est l'heure d'entamer quelques roulades sur la chaussée, en plein centre-ville...et alors?les voitures peuvent bien s'arrêter et attendre...tiens, un vélo!!chouette, des molets à mordiller!...
Plus original, des avions toutes les dix minutes qui rasent la petite ville, perturbant ainsi son calme - étrangeté due à la proximité de l'aéroport de Faro, seul aéroport de l'Algarve, d'où décollent et aterrissent des dizaines d'avions par jour.
Plus original, des avions toutes les dix minutes qui rasent la petite ville, perturbant ainsi son calme - étrangeté due à la proximité de l'aéroport de Faro, seul aéroport de l'Algarve, d'où décollent et aterrissent des dizaines d'avions par jour.
Sagrès
Sagrès, c'est une bière, mais c'est surtout la pointe sud de l'Algarve, et le cap saint Vincent.
La MArina de Sagrès est très agréable. Les pontons se jettent dans une mer émeraude, et offrent une vue magnifique sur la plage au sable blanc, longée par de petites iles rocheuses.
Les mouettes gardent un oeil sur les bateaux de pêche qui reviennent du large, en esperant s'attirer les faveurs des pêcheurs, et récolter quelques têtes de poisson pour leur déjeuner.
La MArina de Sagrès est très agréable. Les pontons se jettent dans une mer émeraude, et offrent une vue magnifique sur la plage au sable blanc, longée par de petites iles rocheuses.
Les mouettes gardent un oeil sur les bateaux de pêche qui reviennent du large, en esperant s'attirer les faveurs des pêcheurs, et récolter quelques têtes de poisson pour leur déjeuner.
vendredi 17 avril 2009
Vila do Bispo
Avant d'arriver à Sagrès, extrême pointe du Portugal - d'où bon nombre de navigateurs ont quitté le continent à la recherche de nouveaux mondes- petit arrêt à Vila do Bispo.
Voici un tout petit village aux ruelles escarpées et grimpantes, dont les pavés (encore un fois polis par le temps et les aléas du climat) vous aveuglent de leur blancheur...
C'est l'occasion de sentir qu'on se trouve bien en Algarve, avec ces maisonnettes aux murs couverts de chaux, chacune réhaussées de couleurs vives, car les toîts et fenêtres
sont tous peints d'une couleur différente, même s'il faut bien l'avouer, le bleu prédomine sans aucun doute, référence à la mer je présume...
Un petit village qui continue à vivre hors du temps. Chacun vacant à ses occupations, entrecoupant ses tâches de quelques pauses ombragées bien méritées.
Voici un tout petit village aux ruelles escarpées et grimpantes, dont les pavés (encore un fois polis par le temps et les aléas du climat) vous aveuglent de leur blancheur...
C'est l'occasion de sentir qu'on se trouve bien en Algarve, avec ces maisonnettes aux murs couverts de chaux, chacune réhaussées de couleurs vives, car les toîts et fenêtres
sont tous peints d'une couleur différente, même s'il faut bien l'avouer, le bleu prédomine sans aucun doute, référence à la mer je présume...
Un petit village qui continue à vivre hors du temps. Chacun vacant à ses occupations, entrecoupant ses tâches de quelques pauses ombragées bien méritées.
Carrapateiria
Départ au petit matin pour Carrapateiria
accompagnée de deux plages aux allures totalement différentes, mais dépaysantes.
La première plage n'est pas accessible, car coupée de tout accès par une lagune gigantesque.
D'en haut des dunes, la plage - dont l'accès se résume à un dédale de pontons et escaliers en bois - semble petite, presque microscopique, et érodée par l'écume et la violence des vagues.
La deuxième plage paraît tout droit sortie d'Australie: roches rouges, roses et oranges, végétation sauvage et indomptée, et vagues énormes (ce qui explique qu'elle soit le repère idéal des surfers du coin).
accompagnée de deux plages aux allures totalement différentes, mais dépaysantes.
La première plage n'est pas accessible, car coupée de tout accès par une lagune gigantesque.
D'en haut des dunes, la plage - dont l'accès se résume à un dédale de pontons et escaliers en bois - semble petite, presque microscopique, et érodée par l'écume et la violence des vagues.
La deuxième plage paraît tout droit sortie d'Australie: roches rouges, roses et oranges, végétation sauvage et indomptée, et vagues énormes (ce qui explique qu'elle soit le repère idéal des surfers du coin).
jeudi 16 avril 2009
De Coimbra à l'Algarve
Alentejo-Algarve
Environ 400 kilomètres séparent Coimbra - en passant par Leiria, Bathala (véritable oeuvre de broderie en pierre), l'alentejo du nord (terre des chevaux) puis du sud (début des zones seches et caillouteuses) - de Odeceixe, ville frontière de l'Algarve, terre du vrai sud.
Premier arrêt: entre Sesimba et Setubal, pour la nuit - extrêmement fraîche- dans les collines.
Encore une fois, la nuit est animée par les colonies de scouts (encore des parents qui se débarrassent de leurs chérubins pendant les vacances).
Chants et incantations sorcelleresques autour du feu jusqu'à pas d'heure, et bien sûr lever au sifflet à 5heures du matin pour aller courir - sans même avoir avalé quoi que ce soit- dans la montagne.
Ue nuit extrêmement difficile car très fraîche, mais un réveil - outre le sifflet - royal au son des pic-verts, coucous, et autres oiseaux chantonneursdumatin.
Petite marche - plus à la cool que nos infortunés camarades de camping- au milieu des montagnes vertes de mousse, des vignes et des palmiers.
Route vers Sétubal pour prendre un café sur la plage, juste en face du manhattan local (pointe de Troia).
Départ pour le sud en ligne droite, sans arrêt ni traînement de pieds.
Odeceixe, fameuse Odeceixe. Effectivement, les Bonet ont toujours le don pour trouver les endroits merveilleux. A l'écart de tout tumulte touristique, et chauffée par les rayons du soleil, Odeceixe - prononcez "odécheyché", et non "odesexe"..m'man, p'pa, m'enfin!- est un petit bourg d'où l'on aperçoit, perché sur les hauteurs, le moulin (encore en activité)
sur les pales duquel ont été attachées des sortes de poteries trouées de tailles différentes, afin de produire des notes flutesques à chaque coup de tourniquet...magnifique!
Odeceixe, ce sont des ruelles blanchies à la chaux qui se mêlent et s'entremêlent, et vous permettent de croiser, par chance hasardeuse, quelque aimable habitant Odeceixien (?), sourire en grand, paluches écartées et prêtes à serrer fort la votre- de paluche.
L'occasion aussi d'apprécier un premier sumol au soleil. Puis direction la plage d'Odeceixe, d'un côté l'océan, de l'autre une lagune turquoise magnifique, et resurgissent quelques souvenirs des longues heures à patauger dans les lagunes Gabonaises...comme quoi..
Le temps de s'en remettre et nous voilà partis vers Aljézur. Premier contact réussi, sur le mur du bar du coin (blanchit à la chaux) trône une vespa jaune...
Le camping se trouve à 3km par les pistes et 6km par la route de la plage d'Amoreira, avec d'un côté des roches noires cisaillées par le sel et une avancée de sable blanc emmitouflée dans un manteau d'embruns,
et de l'autre côté des roches recouvertes de mousse épaisse, parsemées ça et là de quelques flaques pleines d'anémones de mer, et une plage de sable jaune très fin, cloturée par des falaises en escaliers aux reflets rouge/argenté.
L'occasion rêvée d'accompagner le soleil dans son sommeil en mangeant au restaurant en haut de la dune, avec vue imprenable sur le ciel rougissant.
Environ 400 kilomètres séparent Coimbra - en passant par Leiria, Bathala (véritable oeuvre de broderie en pierre), l'alentejo du nord (terre des chevaux) puis du sud (début des zones seches et caillouteuses) - de Odeceixe, ville frontière de l'Algarve, terre du vrai sud.
Premier arrêt: entre Sesimba et Setubal, pour la nuit - extrêmement fraîche- dans les collines.
Encore une fois, la nuit est animée par les colonies de scouts (encore des parents qui se débarrassent de leurs chérubins pendant les vacances).
Chants et incantations sorcelleresques autour du feu jusqu'à pas d'heure, et bien sûr lever au sifflet à 5heures du matin pour aller courir - sans même avoir avalé quoi que ce soit- dans la montagne.
Ue nuit extrêmement difficile car très fraîche, mais un réveil - outre le sifflet - royal au son des pic-verts, coucous, et autres oiseaux chantonneursdumatin.
Petite marche - plus à la cool que nos infortunés camarades de camping- au milieu des montagnes vertes de mousse, des vignes et des palmiers.
Route vers Sétubal pour prendre un café sur la plage, juste en face du manhattan local (pointe de Troia).
Départ pour le sud en ligne droite, sans arrêt ni traînement de pieds.
Odeceixe, fameuse Odeceixe. Effectivement, les Bonet ont toujours le don pour trouver les endroits merveilleux. A l'écart de tout tumulte touristique, et chauffée par les rayons du soleil, Odeceixe - prononcez "odécheyché", et non "odesexe"..m'man, p'pa, m'enfin!- est un petit bourg d'où l'on aperçoit, perché sur les hauteurs, le moulin (encore en activité)
sur les pales duquel ont été attachées des sortes de poteries trouées de tailles différentes, afin de produire des notes flutesques à chaque coup de tourniquet...magnifique!
Odeceixe, ce sont des ruelles blanchies à la chaux qui se mêlent et s'entremêlent, et vous permettent de croiser, par chance hasardeuse, quelque aimable habitant Odeceixien (?), sourire en grand, paluches écartées et prêtes à serrer fort la votre- de paluche.
L'occasion aussi d'apprécier un premier sumol au soleil. Puis direction la plage d'Odeceixe, d'un côté l'océan, de l'autre une lagune turquoise magnifique, et resurgissent quelques souvenirs des longues heures à patauger dans les lagunes Gabonaises...comme quoi..
Le temps de s'en remettre et nous voilà partis vers Aljézur. Premier contact réussi, sur le mur du bar du coin (blanchit à la chaux) trône une vespa jaune...
Le camping se trouve à 3km par les pistes et 6km par la route de la plage d'Amoreira, avec d'un côté des roches noires cisaillées par le sel et une avancée de sable blanc emmitouflée dans un manteau d'embruns,
et de l'autre côté des roches recouvertes de mousse épaisse, parsemées ça et là de quelques flaques pleines d'anémones de mer, et une plage de sable jaune très fin, cloturée par des falaises en escaliers aux reflets rouge/argenté.
L'occasion rêvée d'accompagner le soleil dans son sommeil en mangeant au restaurant en haut de la dune, avec vue imprenable sur le ciel rougissant.
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